Archives : Programmation 2025

À bicyclette !

Road movie français de Mathias Mlekuz, avec Mathias Mlekuz, Philippe Rebbot, Josef Mlekuz

De l’Atlantique à la mer Noire, Mathias embarque son meilleur ami Philippe dans un road trip à bicyclette. Ensemble ils vont refaire le voyage que Youri, son fils, avait entrepris avant de disparaitre tragiquement. Une épopée qu’ils traverseront avec tendresse, humour et émotion.

Vendredi 4 avril 2025 – 20h30 – La Passerelle – durée : 1h29

From Ground Zero (VO)

Documentaire palestinien de Wissam Moussa, Nidal Damo, Ahmed Hassouna, composé de 22 films très courts filmés à Gaza

Le projet From Ground Zéro a été lancé par Rashid Masharawi, le réalisateur palestinien originaire de Gaza, durant la guerre lancée après les attaques du 7 octobre 2023. Ce projet a vu le jour en partant du constat que la parole des Gazaouis est difficilement audible, qu’il est nécessaire d’avoir des traces de ce qui est vécu pour que la mémoire soit conservée, que l’histoire de l’occupation de la Palestine ne puisse être réécrite sans prendre en compte celle des Palestiniens et particulièrement ceux de Gaza.

Dans ce contexte, il n’est pas aisé d’imaginer un espace de création florissant et pourtant il existe. La bande de Gaza a ses talents artistiques, que rien ne doit arrêter de créer. C’est ainsi qu’est née l’idée de composer un film avec 22 très courtes histoires. Cela permet la multiplicité des points de vue, garantit la faisabilité des tournages, qui sont forcément courts et dispersés dans l’espace de la bande de Gaza, et illustre la fertilité créative en empruntant à différents genres : fiction, documentaire, docu-fiction, animation, expérimental.

Mardi 25 mars 2025 – 20h30 – La Passerelle – durée : 1h52 – en VOST – Séance en préambule du Festival Palestine en vue

Bonjour l’asile

Comédie française de Judith Davis, avec Judith Davis, Claire Dumas, Maxence Tual

Jeanne quitte quelques jours le stress de la vie urbaine pour aller voir sa grande amie Elisa, récemment installée à la campagne. Au cœur des bois voisins, un château abandonné devenu tiers-lieu foisonne d’initiatives collectives. Elisa aimerait s’y investir, mais entre biberons et couches lavables, elle n’en a pas le temps. Jeanne, en militante des villes, n’y voit aucun intérêt. Quant à Amaury, promoteur en hôtellerie de luxe, le château, lui, il veut l’acheter. Tous trois convergent malgré eux vers ce lieu d’entraide et de subversion… Mais combien de temps cet asile d’aujourd’hui pourra-t-il résister à ce monde de fou ?

Vendredi 21 mars 2025 – 20h30 – La Passerelle – durée : 1h47

La vallée des fous

Drame français de Xavier Beauvois, avec Jean-Paul Rouve, Pierre Richard, Madeleine Beauvois

Passionné de voile, Jean-Paul traverse une passe difficile. Il accumule les dettes et s’éloigne des siens. Bien décidé à reprendre sa vie en main, il s’inscrit à Virtual Regatta la course virtuelle du Vendée Globe. Il se met dans les conditions d’un vrai skipper en s’isolant pendant 3 mois sur son bateau dans son jardin… Ce voyage pas comme les autres lui permettra de renouer avec sa famille mais surtout avec lui-même.

Dimanche 9 mars 2025 – 17h – La Passerelle – durée : 2h – projection suivie d’un échange avec Bernard Poitau qui a lui aussi décidé de suivre la course virtuelle du Vendée Globe pendant 66 jours, depuis son bateau… amarré dans un champ à St-Julien-Molin-Molette ! Quand le film rejoint la réalité !

Une guitare à la mer

Programme de 3 courts-métrages d’animation de Sophie Roze, Pierre-Luc Granjon, Alfredo Soderguit, avec les voix de François Morel, Roseline Guinet, Omar Hasan

C’est l’histoire d’une fouine qui voudrait vivre comme elle l’entend : aller de ferme en ferme, jouer de la musique et vendre quelques cravates par-ci, par-là… C’est l’histoire d’un garçon qui rencontre un tout petit monstre par une nuit de pleine lune… C’est aussi l’histoire d’une famille de capybaras et d’un poussin qui n’auraient jamais dû se rencontrer. Ces histoires, ce sont avant tout des fables sur le bonheur d’être ensemble.

  • L’arrivée des Capybaras d’Alfredo Soderguit (10’, France / Uruguay / Chili) : La vie est paisible dans la basse-cour, jusqu’au jour où de drôles d’animaux débarquent… Ce sont des capybaras, les plus grands rongeurs du monde…
  • Les Bottes de la nuit de Pierre-Luc Granjon (12’, France) : Par une nuit de pleine lune, un enfant sort en catimini, bottes de caoutchouc aux pieds. Alors qu’il grimpe dans un arbre pour contempler la nuit étoilée, une drôle de créature l’interpelle…
  • Une guitare à la mer de Sophie Roze (30’, France) : Une délicate fouine sillonne la campagne avec une guitare et sa petite valise, pour vendre de magnifiques cravates aux animaux de la ferme. Hélas, personne ne s’intéresse jamais à ses cravates aux couleurs chatoyantes… Elle décide alors de tenter sa chance dans la forêt….

Samedi 8 mars 2025 – 10h30 – La Passerelle – durée : 56 min – à partir de 4 ans

Je suis toujours là (VO)

Thriller brésilien de Walter Salles, avec Fernanda Torres, Fernanda Montenegro, Selton Mello

Rio, 1971, sous la dictature militaire. La grande maison des Paiva, près de la plage, est un havre de vie, de paroles partagées, de jeux, de rencontres. Jusqu’au jour où des hommes du régime viennent arrêter Rubens, le père de famille, qui disparait sans laisser de traces. Sa femme Eunice et ses cinq enfants mèneront alors un combat acharné pour la recherche de la vérité…

Ce film nous fait partager le combat d’Eunice pour obtenir des nouvelles, puis justice, après la disparition injustifiée et injustifiable de son mari. Il donne à voir l’effondrement de toute cette famille qui passe du confort et du bonheur sans nuages à la précarité et à l’angoisse. Et Walter Salles, s’appuyant sur un scénario remarquablement construit, décrypte parfaitement les mécanismes d’une dictature à l’œuvre pour étouffer toute velléité d’opposition. Inspiré de l’histoire bien réelle et tragique de Rubens Paiva (retracée par son fils Marcelo dans le récit adapté par les scénaristes), porté par l’interprétation extraordinaire de Fernanda Torres, Je suis toujours là s’avère le film indispensable pour évoquer la dictature brésilienne, moins connue mais tout aussi sanglante que ses voisines argentines et chiliennes.

Vendredi 7 mars 2025 – 20h30 – La Passerelle – durée : 2h15 – VOST

Personne n’y comprend rien

Documentaire français de Yannick Kergoat, raconté par Florence Loiret Caille.

Une démocratie et une dictature. Une campagne présidentielle et de l’argent noir. Une guerre et des morts. « Personne n’y comprend rien », se rassure Nicolas Sarkozy au sujet de ses liens avec le colonel Kadhafi. Alors que s’ouvre le procès de l’affaire des financements libyens, voici le film qui va enfin vous permettre de tout comprendre à l’un des scandales les plus retentissants de la Ve République.

Nous avait-il manqué ? Pas trop. D’ailleurs il ne se laisse guère oublier, le cher ex-Président, qui a troqué sa montre-bracelet Rolex contre un bracelet électronique tout court, tout en continuant à jacter occasionnellement dans le poste pour faire la leçon à ses successeurs élyséens, dispenser des leçons de morale et faire la pluie et le beau temps sur sa famille politique. En sortant de ce film, passionnant, précisément documenté par le travail des journalistes de Mediapart, raconté de façon vivante, on a la nette sensation de se sentir un peu moins bête. Beaucoup mieux armé, surtout, pour appréhender le moment judiciaire qui s’annonce. C’est une œuvre de salubrité publique.

Mardi 25 février 2025 – 20h30 – La Passerelle – durée : 1h43

Sauvages

Film d’animation français réalisé par Claude Barras, avec les voix de Babette De Coster, Martin Verset, Laetitia Dosch, Benoît Poelvoorde

À Bornéo, en bordure de la forêt tropicale, Kéria recueille un bébé orang-outan trouvé dans la plantation de palmiers à huile où travaille son père. Au même moment Selaï, son jeune cousin, vient trouver refuge chez eux pour échapper au conflit qui oppose sa famille nomade aux compagnies forestières. Ensemble, Kéria, Selaï et le bébé singe baptisé Oshi vont braver tous les obstacles pour lutter contre la destruction de la forêt ancestrale, plus que jamais menacée.

Après le succès de Ma vie de courgette (2016), sur les aventures d’un garçon placé en orphelinat, Sauvages suit l’éveil d’une adolescente sur l’île de Bornéo, malmenée par la déforestation : la fonceuse Keria, confrontée aux activités d’une multinationale coupant méthodiquement les arbres, va lutter et renouer avec ses origines. Soit un film d’aventures porté par l’humour des situations et l’agilité des dialogues. Une foule de détails, dans la confection des marionnettes, témoigne du travail de terrain et d’écoute mené par l’équipe du film, notamment auprès de primatologues. Le scénario devait être aussi crédible que respectueux. En filigrane, le film interroge le rapport à la terre et aux pratiques agroalimentaires. Qui est le sauvage, celui qui vit en pagne ou celui qui arrive avec son engin pour couper les arbres et déloger les habitants ?

Samedi 22 février 2025 – 10h30 – La Passerelle – durée : 1h27 – à partir de 7/8 ans et jusqu’à 108 ans !

The Gazer (VO)

AVANT-PREMIÈRE !

Thriller américain de Ryan J. Sloan, avec Ariella Mastroianni, Jack Alberts, Renee Gagner

Séparée de sa fille contre son gré, une jeune femme enchaîne les petits boulots tout en luttant contre un trouble mental dont elle ne connaît le nom, mais qui déforme sa perception du temps et de la réalité. À la réunion d’un groupe de parole qu’elle fréquente, elle accepte un deal mystérieux avec l’une des participantes.

Tourné en 16 millimètres granuleux à souhait, sous le signe d’un enchevêtrement de situations bientôt inextricables, dont on ne sait trop si elles relèvent de la projection mentale ou de la réalité, Gazer est un hommage contemporain au thriller paranoïaque du siècle passé. Tourné dans une pauvreté visible, le film tient tout entier sur son geste de mise en scène.

Vendredi 21 février 2025 – 21h – La Passerelle – durée : 1h56 – en VOST – Soirée « L’après Festival du Premier Film d’Annonay » – Offre spéciale pour les 2 films : 10€ et une grignotte offert entre les 2 films.

Une langue universelle (VO)

Comédie canadienne de Matthew Rankin, avec Matthew Rankin, Pirouz Nemati, Rojina Esmaeili

Matthew quitte Montréal où il a travaillé toute sa vie pour retourner à Winnipeg où il est né. L’espace-temps paraît alors bouleversé et tout le monde parle persan dans la métropole canadienne. Dans ce conte d’hiver, les rencontres de Matthew avec deux enfants espiègles, un enseignant colérique et un guide touristique plus motivé que doué, vont le mettre sur le chemin d’une quête intime et délicieusement absurde.

« Si j’étais à Téhéran… » : à partir de cette simple hypothèse, le spectateur – comme Matthew, le protagoniste du film parti de Montréal rejoindre sa mère malade à Winnipeg – se retrouve dans un univers à la fois familier et décalé. Il reconnaît les signes d’une ville occidentale, tout en acceptant un environnement perse. Son regard s’ajuste aux circonstances et suit les recommandations d’un guide (particulièrement loufoque) qui, de quartier en quartier, transforme des éléments du mobilier urbain en biens culturels insolites. Par exemple, une mallette abandonnée sur un banc est montrée aux visiteurs comme un témoignage du passé, inscrit au patrimoine de l’Unesco… En fait, la langue universelle est celle qui existait avant Babel. C’est le langage de l’humanité avant sa dispersion. Aujourd’hui, c’est le cinéma.

Vendredi 21 février 2025 – 18h30 – La Passerelle – durée : 1h29 – en VOST – Soirée « L’après Festival du Premier Film d’Annonay » – Offre spéciale pour les 2 films : 10€ et une grignotte offert entre les 2 films.

Pepe (VO)

Film à la lisière entre fiction et documentaire, de Nelson Carlo de Los Santos Arias (coprod République dominicaine, France, Allemagne)

Synopsis officiel du film : « Pablo Escobar c’est 30 milliards de dollars, 5000 meurtres, 80% du trafic mondial de cocaïne… et 1 hippopotame : voici l’épopée fantastique de Pepe, de la Namibie à Medellín. »

En réalité, ce film ne parle pas de Pablo Escobar mais plutôt de 3 hippopotames importés par lui en Colombie. Ces animaux se sont reproduits et ont formé un troupeau. Dans un troupeau d’hippopotames, il ne peut y avoir qu’un seul mâle dominant. En 2009, les mâles étaient devenus si nombreux qu’ils ont commencé à se battre. En général, les perdants sont soit tués, soit contraints à l’exil avec une femelle. L’un de ces perdants a descendu la rivière et s’est retrouvé à environ 500 kilomètres de son troupeau. Il a fini sa route dans une ville où personne ne savait ce qu’était un hippopotame. Les locaux croyaient voir un monstre dans la rivière. Il a été surnommé “Pepe” parcequ’on l’a associé à la traque d’Escobar menée à l’époque par une organisation appelée “Los Pepes”, l’un des premiers groupes paramilitaires du pays…

Nelson Carlo de Los Santos Arias a un talent de pur conteur-farceur, capable de mixer les natures d’images (archives, fiction, docu, noir et blanc, couleurs) pour livrer une bouleversante allégorie de l’exil !

Mardi 28 janvier 2025 – 20h30 – La Passerelle – Durée : 2h02 – en VOST

Everybody loves Touda (VO)

Film de Nabil Ayouch (coprod France, Belgique, Danemark, Norvège, Pays-Bas, Maroc), avec Nisrin Erradi, Joud Chamihy, Jalila Tlemsi

Touda rêve de devenir une Cheikha, une artiste traditionnelle marocaine, qui chante sans pudeur ni censure des textes de résistance, d’amour et d’émancipation, transmis depuis des générations. Se produisant tous les soirs dans les bars de sa petite ville de province sous le regard des hommes, Touda nourrit l’espoir d’un avenir meilleur pour elle et son fils. Maltraitée et humiliée, elle décide de tout quitter pour les lumières de Casablanca…

Entre âpreté et douceur, intensité et sensualité, le réalisateur de « Much Loved » continue de peindre son pays et ses contradictions dans un neuvième long métrage bouleversant qui envoûte par sa beauté formelle, là encore au service d’un propos résolument féministe, et son héroïne aussi libre que charismatique aux prises avec le patriarcat.

Vendredi 24 janvier 2025 – 20h30 – La Passerelle – Durée : 1h42 – en VOST

Les vivants et les morts

aff_lesvivantsetlesmortsCinémolette propose une journée spéciale « série-molette », en présence du réalisateur et écrivain Gérard Mordillat, qui présentera son nouveau livre « Les vivants et les morts, 20 ans plus tard », à paraître en janvier 2025, en vente sur place avec la complicité de la librairie Le Coin des livres.

Sur place également tout au long de la journée, vous pourrez rencontrer les complices de Gérard Mordillat : Odile Conseil, François Catonné et Henri Labbé, que vous avez pu cotoyer au casting, à la caméra, à la lumière, lors du tournage de Mélancolie ouvrière en 2017, et qui reviennent avec joie à St-Julien-Molin-Molette sur les traces de cette belle aventure…

Projection de l’intégrale de la 1ère saison le samedi 18 janvier
8 épisodes de 52 minutes, participation libre

Les vivants et les morts est une fresque sociale réalisée par Gérard Mordillat en 2009 d’après son roman éponyme, avec Marie Denarnaud, Robinson Stévenin, Luc Thuillier, Patrick Mille, Priscilla Attal, François Morel, Florence Thomassin…
Rudi et Dallas travaillent à la Kos, une usine de fibre plastique. Le jour où l’usine ferme, c’est leur vie qui vole en éclat, alors que tout s’embrase autour d’eux. Les vivants luttent sans jamais renoncer, les morts acceptent leur sort et se soumettent… Entre passion et insurrection, les tourments, la révolte, les secrets de Rudi et Dallas et ceux d’une ville où la lutte pour la survie dresse les uns contre les autres, ravage les familles, brise les règles intimes, sociales, politiques. Dans ce monde où la raison financière l’emporte sur le souci des hommes, qui doit mourir, qui peut vivre ?

  • 10h accueil café
  • 10h30 : épisodes 1 & 2
  • 12h30 : temps de rencontre + pique-nique tiré du sac
  • 14h : épisodes 3 & 4
  • 16h : temps de rencontre avec Gérard Mordillat, animé par Le Coin des livres
  • 17h30 : épisodes 5 & 6
  • 19h30 : temps de rencontre + coup à boire + grignotages
  • 21h : épisodes 7 & 8

Samedi 18 janvier 2025 – Journée spéciale « Série-molette », programmée en présence de Gérard Mordillat, qui présentera la suite de cette fresque sociale à travers son nouveau livre « Les vivants et les morts, 20 ans plus tard », à paraître en janvier 2025, en vente sur place avec la complicité de la librairie Le Coin des livres.

Tony, Shelly et la lumière magique

Film d’animation tchéco-slovaco-hongrois de Filip Pošivač

Tony, 11 ans, est né avec une particularité unique – il brille. Il passe ses journées à la maison et rêve de se faire un ami. Avant Noël, une fillette singulière, Shelly, emménage dans son immeuble et bouleverse son monde. Ensemble, ils se lancent dans une aventure extraordinaire : trouver l’origine des mystérieuses tâches d’obscurité qui aspirent la lumière hors de leurs maisons.

Samedi 4 janvier 2025 – 10h30 – La Passerelle – Durée : 1h22 – à partir de 7 ans

Leurs enfants après eux

Drame français de Ludovic Boukherma et Zoran Boukherma, avec Paul Kircher, Angelina Woreth, Sayyid El Alami, d’après le roman éponyme de Nicolas Mathieu, Editions Actes Sud, Prix Goncourt 2018.

Août 92. Une vallée perdue dans l’Est, des hauts fourneaux qui ne brûlent plus. Anthony, quatorze ans, s’ennuie ferme. Un après-midi de canicule au bord du lac, il rencontre Stéphanie. Le coup de foudre est tel que le soir même, il emprunte secrètement la moto de son père pour se rendre à une soirée où il espère la retrouver. Lorsque le lendemain matin, il s’aperçoit que la moto a disparu, sa vie bascule.

Vendredi 3 janvier 2025 – 20h30 – La Passerelle – Durée : 2h21